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Historiquement, l’olivier est essentiellement présent dans cette garrigue sur les terres calcaires des premières collines du gardon rencontrées depuis la mer.
Au 16ème siècle, l’oléiculture était alors une activité agricole très importante, voire principale, avant que la vigne ne se développe.
L’olivier « roi » de ce secteur se nomme « Picholine », issu selon certains historiens d’une sélection par les grecs il y a 2 500 ans à Collias, une commune voisine de Bezouce, elle est particulièrement bien adaptée à la préparation d’olives de table vertes grâce à une préparation dite « à la picholine »
Au cours du xviie siècle s’installèrent à Saint-Chamas les deux frères Picholini, d’origine italienne. Ils popularisèrent une recette pour rendre les olives consommables sans qu’elles perdent leur couleur verte. Il suffisait de les mélanger, à volume égal, avec de la cendre, de les recouvrir d’eau, puis de les placer dans une saumure aromatisée. Elles prirent le nom d’olives à la picholine. Cette recette fut d’abord pratiquée sur une variété des environs de Saint-Chamas, la Saurine. Ensuite, une variété du Gard se révéla supérieure pour cette recette. Il s’agit d’une variété de la région de Collias, entre Uzès et Remoulins, qui devint alors la picholine .
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